De confession chrétienne avec pour socle de ses actions et de son engagement les préceptes de Jésus-Christ et l’évangile, la Présidente Fondatrice de la Fondation AMAN-International Dr. Marie Ginette AMANI-FRIDRICH a grandi et évolué dans une famille chrétienne. Les bases de son éducation chrétienne qu’elle prolonge dans sa propre famille qu’elle a fondé se prolongent également dans son initiative et son engagement à travers la Fondation AMAN-International (FAI) qu’elle veut apolitique, à but non lucratif et sans distinction et discrimination aucune pour les bénéficiaires des actions.
Les actions de la Fondation AMAN-International (FAI), qu’elle démarre tout doucement en 2002, se sont très vite intensifiées alors que la jeune Présidente terminait la présentation de son mémoire de fin de cycle de maîtrise.
Elle avait réussi à convaincre sa famille de se joindre à son initiative pour la formaliser ensemble.
Par la suite, des amis et des sympathisants se rapprocheront de la Fondation qui commençait à se démarquer par ses initiatives humanitaires et sociales répétées en Côte d’Ivoire dans un premier temps.
Ces actions seront très rapidement remarquées par les pouvoirs publics en Côte d’Ivoire, mais aussi par les institutions nationales et internationales. La Présidente Fondatrice a intensifié parallèlement des actions de lobbying visant à présenter la Fondation AMAN-International (FAI).
Ces actions de lobbying aboutiront à la signature de nombreux partenariats avec tous les ministères de tutelle, avec des dizaines d’ONG et associations, des universités et grandes entreprises, mais aussi avec des institutions internationales telles que celles des nations unies comme la Banque Mondiale, l’Unesco, le Global Compact en portant le message de s’ouvrir à plus d’humanité et de collaboration directe avec la société civile en faveur des plus démunis.
La Fondation AMAN-International sera l’une des rares Organisation en Côte d’Ivoire à être invitée à joindre son adresse formelle et de lobbying à l’intention et l’attention du Président des Nations Unies afin de solliciter le retour de la Côte d’Ivoire au programme AGOA. Ce qui abouti à un succès quelque temps plus tard.
En quelques mois seulement, la notoriété de la jeune Fondation dépassait les frontières du pays avec des réactions positives venant du monde entier.
Entre 2005 et 2006, la Présidente Fondatrice s’était déplacé vers et avait invité des dizaines de fondateurs et directeurs de grandes écoles et d’universités pour des entretiens personnalisés ayant pour but de faire du lobbying auprès d’eux pour les convaincre d’octroyer à son organisation des bourses d’études à 100 % ou partiels à mettre à la disposition des élèves et étudiant les plus démunis.
Plusieurs adhérèrent à son projet et signèrent des accords de partenariat avec sa fondation. Ce fût plus de 1000 bourses d’études qui furent récoltées et redistribuées aux plus nécessiteux afin qu’ils prennent ou reprennent le chemin de l’école, des grandes écoles et des universités. Le plus intéressant, c’était que ces institutions donatrices s’étaient fait une telle notoriété à travers ce programme qu’elle avait vu leurs effectifs bondir pour un succès grandissant. Les années qui suivirent, elles entreprirent de développer elles-mêmes ce programme spontanément au sein de leurs établissements respectifs. Ceci fût un grand succès et surtout le message et les actions de lobbying de la jeune présidente avaient porté des fruits et faits des émules: son message avait été compris et était dupliqué, et cela, pour le bénéfice des plus défavorisés.
S’exprimant sur ce phénomène des bourses insufflé par la Fondation AMAN-International et qui était devenu une politique désormais dans les écoles et universités, la Présidente Fondatrice de la Fondation AMAN-International a dit qu’elle « en était très contente et satisfaite que son message soit passé au point d’avoir changé les comportements au plus haut niveau au sein de toute une corporation pour devenir la règle désormais dans les établissements privés notamment: faire une place aux plus nécessiteux ! Toute la société y gagne » a-t-elle souligné.
Les actions de la Fondation se sont aussi étendues à l’international et dès 2005 avec la nomination de Professeur Docteur Bernd-Dieter FRIDRICH au poste de Directeur du Directoire de la Fondation AMAN-International, la Présidente sous son impulsion et son sens aigu du lobbying international, effectua une première mission pour donner une conférence au nom de la Fondation en Allemagne, rencontrer les personnalités du monde politique, industriel, économique et diplomatique, etc. de divers pays du monde entier. Plusieurs missions du genre suivront… parallèlement aux activités et programmes organisés en Côte d’Ivoire et en Afrique en général.
Des dons, des formations, des programmes tels que la croisière du cœur, le Salon International de l’Humanitaire et du Développement, l’académie International FAI-RenCap, seront mis en place pour agir efficacement et toucher une cible plus large, etc.
En 2008, la Côte d’Ivoire a salué les actions de la Fondation AMAN-International en attribuant la médaille de Chevalier à sa Présidente Fondatrice, pour son engagement en faveur de la Côte d’Ivoire et sa contribution à la cohésion sociale.
En 2009, le Directeur du Directoire de la Fondation AMAN-International, Prof. Dr. Bernd Dieter Fridrich reçu la médaille d’officier pour son engagement en faveur de la Côte d’Ivoire et sa contribution à la cohésion sociale.
À partir de 2014, la FAI a entamé la restructuration de ses opérations par un travail interne visant la digitalisation des programmes pour une meilleure gestion et pour mieux atteindre les cibles aux quatre coins du monde.
Selon la Présidente Fondatrice: « Les personnes qui traversent des moments difficiles, sont des personnes auxquelles Dieu accorde le privilège de passer par ces difficultés afin de les mener à découvrir les enseignements cachés de la Vie. La pauvreté et toutes les difficultés similaires sont des passages du temps et de l’es pace et ne sont pas des fins en elles-mêmes. On est aussi forcément privilégié quand Dieu même décide de s’adresser à nous, quelle qu’en soit la manière en mettant, par exemple sur le parcours de notre vie, des personnes en difficultés. D’un autre côté, C’est une façon pour Dieu de nous accorder également le privilège de travailler pour lui en servant les autres.
Être conscient et convaincu de cette réalité, être capable de réaliser une action positive pour les autres, mais s’en détourner et se refuser de le faire, c’est rejeter ce grand honneur que Dieu lui-même nous fait en nous offrant l’opportunité, la plus grande des positions qui soit: de servir son prochain.
Il faut donc avoir un cœur ouvert, désintéressé et dépourvu de calculs parallèles et de mépris quand on veut vraiment aider les personnes les plus démunis. « L’humanitaire est un élan naturel du cœur » souligne-t-elle (titre donné à l’un de ses livres).